Sylvie Vartan a du mal à croire que Johnny « ait pu renier son sang »
David Hallyday et sa mère Sylvie Vartan aux funérailles de Johnny Hallyday en décembre 2017.
Sylvie Vartan a accepté dimanche soir l’invitation de Laurent Delahousse.
Sylvie Vartan a décidé de prendre la parole. Terminer le silence, la star a souhaité défendre son fils et donner sa version de l’histoire sur le plateau du 19h le Dimanche de Laurent Delahousse. Sylvie commence par un timide : « ce n’est pas dans ma nature de venir et de parler de mon intimité ». Mais l’interprète de «La plus belle pour aller danser» sait qu’ici il y a désormais «deux Johnny, deux histoires irréconciliables», comme le dit l’animateur de France 2. « Je suis effarée de voir qu’on ait pu publier un des testaments, explique Sylvie pour commencer. Mais comme vous dites, il y a deux écritures, deux façons de voir, il n’est plus là. J’ai beaucoup de mal à croire que l’homme que j’ai connu et aimé follement, que je connais très très bien, puisse renier son sang et réécrire son histoire en déshéritant ses enfants et en ne leur donnant pas le droit moral ».
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Sylvie ne s’arrête pas là et défend son fils. « David est un artiste comme lui, c’est un musicien, il est né comme ça c’est dans son ADN, confie-t-elle. Il a des parents artistes, mes parents étaient artistes. C’est toute une famille ».
« David est meurtri »
Laurent Delahousse met alors l’accent sur les sentiments de David Hallyday. Être déshérité par un père ? À ce sujet, Sylvie Vartan ne mâche pas ses mots. « Que ce soit Johnny Hallyday ou Monsieur Dupont, c’est inimaginable la violence du reniement d’un père. Je ne le crois pas. Je ne pense pas que Johnny ait pu être capable de ça.(…) David, pour le moment il est meurtri. Ce n’est pas une question d’argent, la transmission c’est plus important que tout ». Pour terminer, Sylvie accepte de parler de Laeticia à demi-mot. « Je n’ai rien à dire à Laeticia. J’ai toujours eu des rapports courtois avec elle. Mais aujourd’hui, la donne est différente ». Pour le reste, Sylvie Vartan «laisse la justice faire son travail ».