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Une discrète médiation entre Delphine Boël et Albert II a échoué en 2013

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Delphine Boël en 2017. | © BELGA PHOTO / DIRK WAEM.

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L’idée d’une lettre manuscrite scellée avait été évoquée en 2013.

Quelques semaines avant de se tourner vers la justice, Delphine Boël a refusé une solution à l’amiable, selon les informations du Soir et de Sudpresse développées dans leurs éditions de ce mardi. La conciliation prévoyait une lettre scellée dans laquelle Albert II aurait reconnu qu’elle était sa fille, mais qui n’aurait pu être ouverte qu’après le décès du roi.

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En 2013, une discussion s’était ouverte entre l’avocat de Delphine Boël à l’époque, un spécialiste du droit familial et successoral, et le conseil du Roi. L’objectif était de trouver une solution pour que le lien entre Delphine et Albert soit consacré, sans toutefois nécessairement passer par une reconnaissance officielle.

Delphine Boël elle-même met fin aux discussions

Albert II avait accepté que les discussions se poursuivent, selon les quotidiens. Mais brusquement, la discussion est interrompue. Et c’est bien Delphine Boël elle-même qui met fin à cette tentative de conciliation.

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Delphine Boël en compagnie de son avocat Marc Uyttendaele (à gauche). © BELGA PHOTO / ERIC LALMAND.

L’idée était celle d’une lettre manuscrite d’Albert II, dans laquelle il reconnaissait que Delphine était sa fille. Mais cette lettre n’aurait pu être ouverte qu’après la mort d’Albert II. Et le document aurait servi de reconnaissance d’identité, sans conséquence juridique sur l’état civil ou autre.

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Contactée, Delphine Boël reconnaît avoir refusé cette solution, car « c’était trop flou et sans garantie réelle pour l’avenir, ni résolution des problèmes qu’elle rencontrait alors dans sa vie », explique son avocat Marc Uyttendaele après consultation de sa cliente.

Avec Belga

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