Meghan Markle refuse de rencontrer Trump, il la traite de « méchante »

La duchesse de Sussex n’assistera pas au grand banquet prévu à Buckingham pour la venue du couple présidentiel américain.

Le grand jour approche. Dans un peu moins de 48 heures, Donald Trump et son épouse Melania arriveront à Londres pour célébrer, auprès de la reine Elisabeth et du prince Philip, le 75e anniversaire du débarquement allié en Normandie.

Alors que plusieurs membres de la famille royale, dont Kate et William, seront attendus au grand banquet organisé au palais de Buckingham, la duchesse de Sussex et son fils Archie seront aux abonnés absents. La raison officielle ? Son congé maternité. Maman depuis seulement trois semaines, Meghan Markle préfère rester auprès de son bébé dans le calme de Frogmore Cottage. Mais la raison officieuse semble un peu plus « politique » que ça…

Sourires forcés

Même si elle n’avait pas eu d’enfant, l’ex-actrice américaine ne serait probablement pas venu jusque Buckingham pour saluer la main de son président. En désaccord avec la politique de Donald Trump – comme d’autres au sein de la royal family – Meghan Markle refuserait-elle de faire semblant ? Comme le rapporte Le Figaro ce samedi, l’épouse du prince Harry avait publiquement exprimé son mépris vis-à-vis de Donald Trump, qu’elle avait qualifié de « misogyne » et « d’homme clivant », quelques mois avant qu’il soit élu président des États-Unis.

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Si à quelques jours de son envol pour la capitale britannique, POTUS s’est dit enthousiaste à l’idée de revoir Sa Majesté la reine avec qui il garde de très bons souvenirs, il n’a pas hésité à lâcher des propos irrévérencieux envers la duchesse de Sussex. Interrogé par un journaliste du Sun, l’ex-magniat de l’immobilier a pris connaissance des déclarations passées de Meghan Markle. « Vous ne votez pas seulement pour une femme si vous votez pour Hillary Clinton parce qu’elle est une femme, mais surtout parce que vous ne voulez vraiment pas du genre de monde dépeint par Trump », avait-elle déclaré en mai 2016. « Je n’en savais rien », a répondu le locataire de la Maison Blanche ce vendredi. « Qu’est-ce que je peux dire ? Que je ne savais pas qu’elle était méchante. » Une petite pique qui n’enlève rien à la fierté du président U.S d’avoir une Américaine au sein de la famille royale britannique. « Je suis sûr qu’elle s’en sortira à merveille », a-t-il ajouté. Comme quoi.