Une étudiante vend sa virginité pour pouvoir faire un tour du monde

Jasmin aurait vendu sa virginité à un acteur célèbre | © Cinderella escorts
Dans certains pays, la pureté n’a pas de prix, et gare à celles qui perdraient leur virginité avant le soir de leurs noces. Dans d’autres, la « V card » n’est qu’une carte parmi tant d’autres à abattre pour rafler la mise. C’est le cas d’une étudiante de 26 ans qui viendrait de vendre sa virginité pour 1.2 millions d’euros.
Dans le conte de Charles Perrault, Cendrillon est une orpheline malmenée, qui peine à trouver chaussure à son pied jusqu’à l’arrivée providentielle d’un prince et d’une pantoufle de vair pour la délivrer de sa vilaine belle-mère. En 2018, elle prête son nom à Cinderella Escorts, un site rassemblant des filles prêtes à offrir leur compagnie moyennant quelques pièces sonnantes et trébuchantes. Voire même, y vendre leur virginité aux enchères, ainsi que viendrait de le faire Jasmin, une étudiante britannique de 26 ans.

Bouche pulpeuse, silhouette filiforme et longue chevelure brune, Jasmin a tous les attributs de la starlette hollywoodienne, ce qui explique peut-être pourquoi c’est un acteur célèbre qui aurait choisi de dépenser plus d’un million d’euros pour s’offrir sa virginité. Si l’identité de « l’acheteur » est préservée, Jasmin a toutefois révélé dans un communiqué officiel qu’elle avait le choix entre trois hommes, qu’elle a rencontrés tous les trois avant de se décider.
C’est incroyable pour moi d’avoir cette opportunité avec un de mes acteurs préférés. Il avait déjà enchéri pour la virginité d’une autre fille, sans succès, mais cette fois était la bonne.
Les deux autres acheteurs potentiels étaient un riche businessman allemand que Jasmin a trouvé « trop vieux pour elle » ainsi qu’un joueur de football de Premiere League.
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L’objectif pour la jeune femme ? Rassembler assez d’argent pour pouvoir effectuer un tour du monde et sillonner l’Amérique. Mais aussi « lancer ma propre entreprise, et c’est quelque chose pour lequel j’aurai besoin d’argent« . Et face aux critiques de cette transaction qui donne un nouveau sens à l’expression « payer en nature », l’étudiante de 26 ans ne manque pas de répondant : « n’importe quelle fille ferait pareil à ma place plutôt que d’offrir sa virginité à un mec avec qui elle finira forcément par rompre ».