Thierry Ardisson dézingue Stéphane Guillon après ses indiscrétions sur les coulisses de SLT

Thierry Ardisson sur le plateau de "Salut les terriens". | © Maxime Bruno/C8
Mardi, Stéphane Guillon a donné quelques anecdotes sur Thierry Ardisson sur le plateau de « C à vous ». L’homme en noir n’a pas du tout apprécié et lui a répondu violemment par voie de communiqué mercredi.
En juin dernier, Stéphane Guillon a été écarté de « Salut les terriens » non sans remous. Mardi, l’humoriste, qui sort « Journal d’un infréquentable », est revenu à « C à vous » sur son éviction qu’il a appris par le biais d’un stagiaire de «Quotidien». Il a également été interrogé sur sa relation avec Thierry Ardisson dont il parle dans son livre sans jamais le nommer mais en le surnommant « le patron ». Il écrit notamment que l’animateur de « Salut les terriens » croisait tous les jours l’assistant de Stéphane Guillon mais ne le reconnaissait jamais ou encore qu’il pleure « sur commande à l’antenne » parce que ça « l’humanise », mais que parfois il ne « pleure pas au bon moment ». « On coupe et on refait la séquence pour qu’il pleure exactement là où il a décidé de pleurer parce qu’il y a une conférence de rédac’ et on décide que Thierry pleure à tel moment », a expliqué l’humoriste sur France 5, affirmant que le portrait qu’il dresse de Thierry Ardisson n’est pas du tout « un règlement de comptes ».
La réponse de Thierry Ardisson
L’animateur de 69 ans ne l’a pas entendu de cette oreille. Il a répondu à Stéphane Guillon dans un communiqué mercredi où il n’épargne pas son ancien collaborateur. « Après ton échec au cinéma, puis ton échec au théâtre, il ne te reste plus que l’invention de fake news pour exister médiatiquement. En dix ans, tu n’as jamais participé à aucune conférence de ‘Salut les terriens !’ et tu n’as pas davantage été présent lors des tournages des témoignages, a écrit Thierry Ardisson. En revanche, tu gagnais 10 000 euros par semaine et je comprends qu’aujourd’hui cela te manque cruellement. Mais de là à mentir et à me dénigrer sans raison et sans preuve, il y a une limite que tu franchis dans la honte ».