À la télé ce soir : Récitez les meilleures répliques de OSS 117 avec Jean Dujardin

En attendant le troisième opus, la RTBF diffuse ce mercredi soir le deuxième film de la saga OSS 117 : Rio ne répond plus. Parfait pour une soirée détente devant la télévision. 

L’agent secret préféré des francophones est de retour. Une semaine après avoir diffusé le premier opus, la Une régale ses téléspectateurs ce mercredi soir à partir de 20h25, avec sa suite, OSS 117 : Rio ne répond plus. De retour d’une mission à Gstaad, l’agent inimitable incarné à merveille par Jean Dujardin est immédiatement envoyé au Brésil pour y récupérer des microfilms contenant les noms de collaborateurs français auprès de l’ancien nazi Von Zimmel. Secondé par Dolorès, agent du Mossad, les services secrets israéliens, l’espion part à la recherche du maître chanteur.

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L’occasion de répéter les meilleures répliques de Hubert Bonisseur de la Bath alias Noël Flantier, comme par exemple à propos de sa vision (très personnelle) de ce qu’est une dictature ou sur l’égalité des genres. De quoi rendre les fans de cette saga culte encore plus impatients. Dix ans après la sortie de Rio ne répond plus, le troisième opus, sans Michel Hazanavicius malheureusement, est attendu à l’horizon 2020. Une date encore bien vague. À la réalisation, c’est Nicolas Bedos qui reprend finalement le flambeau. Un défi de taille, mais Jean Dujardin impatient de rendosser le costume de l’espion a toute confiance en son nouveau partenaire. « J’ai hésité un moment avant de me lancer, puis je me suis rendu compte qu’il y avait les talents de Nicolas Bedos et du scénariste Jean-François Halin, qui a signé les deux premiers, confiait-il dans Le Point en juin dernier. OSS 117, c’est un genre de comédie exigeante, devenue assez culte. Il n’y avait aucune raison de ne pas faire ce troisième film, même sans Michel Hazanavicius, qui n’était pas très convaincu. »

Que les fans se rassurent également. Jean Dujardin affirme que l’ADN réactionnaire de l’espion qu’il incarne sera toujours présent. « Avec OSS 117, on sait de qui on rigole : un raciste, un idiot, un con, un réac, un candide, un abruti qui enfile les clichés comme des perles. Je symbolise cette France crasse, idiote, basse de plafond. Les gens se marrent d’eux-mêmes. Nous acceptons de rire de nous comme, avec Brice de Nice, j’ai toujours ri de moi », a-t-il déclaré, assurant qu’il n’y aurait aucune autocensure.

En juillet dernier, Paris Match Belgique avait rencontré Michel Hazanavicius pour une Masterclass de cinéma express. L’occasion de lui demander notamment sa scène comique culte.

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