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Pourquoi il faut se méfier du parmesan déjà râpé

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Deux conseils pour éviter les mauvaises surprises. | © Pixabay

Food et gastronomie

Bien qu’il puisse paraître pratique, acheter du parmesan déjà râpé n’est pas forcément une bonne idée.

En novembre dernier, l’animatrice Julie Andrieu poussait déjà un coup de gueule contre la vente de parmesan déjà râpé dans les supermarchés. « Il est beaucoup plus cher que le parmesan en morceaux et en général, les industriels y mettent la croûte, c’est pour ça que ça sent les pieds, expliquait l’animatrice des « Carnets de Julie ». Il faut dire les choses comme elles sont. Préférez un vrai parmesan pris dans la meule, avec écrit Parmigiano Reggiano sur la tranche ».

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Pour éviter de se retrouver avec une poudre de croûtes qui pue les pieds, nos confrères de la DH conseillent de scruter les étiquettes. « Nous avons analysé quelques paquets de ces fameux parmesans râpés qu’on retrouve dans les grandes enseignes. Nous y avons notamment retrouvé de l’huile de palme, de l’amidon de pomme de terre, des colorants et conservateurs, des fibres alimentaires (bambou) et du sel ».

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Privilégier le parmesan en bloc

Il existe un autre moyen pour distinguer le vrai du faux parmesan. Depuis 1996, c’est un formage d’appellation d’origine protégée (AOP), il suffit donc d’acheter un Parmigiano-Reggiano – le seul, l’unique -, « affiné au minimum 12 mois mais bien plus souvent 24 à 36 mois », souligne la Dernière Heure.

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