Mode culte : pourquoi ne pas essayer la robe boule ?

Pleine de féminité et de fantaisie, la « Bubble Dress » (re)devient une pièce maitresse !

En 1959, Yves Saint Laurent révolutionne la grande robe de bal en la raccourcissant nettement et en lui donnant une allure plus espiègle. Ainsi, il conserve, sur ce modèle crayon, un sur-jupon bouillon effet taffetas. Accessoirisée de perles, de longs gants en velours et d’escarpins aiguilles, on voit déjà dans cette silhouette cocktail simple et sensuelle, ce que sera plus tard la fameuse petite robe noire.

Au festival de Cannes 1987, la princesse Lady Di impose son style BCBG modernisé sur la Croisette. Elle apparait dans une robe marinière boule cintrée par un long veston capitaine à boutons dorés. Une revisite audacieuse qui fini de confirmer l’aura Mode de Diana.
Cette année, ces belles inspirations rétro font le Show! Sur les podiums internationaux et dans notre dressing de ville, la robe boule se porte de jour comme de nuit.

Citadine Chic. Pour faire sobre et stylé, on opte pour un modèle noir épuré, comme cette robe trapèze en tissu éco responsable de la marque COS (115€) que l’on glisse simplement sous un perfecto en cuir ou une petite veste en jean usé. 02 404 13 70 – cos.com.

Pour une allure plus douce et romantique, on préfère la délicate robe babydoll « Amalia » en soie et acétate upcyclés de la griffe française Rosae Paris (185€). Une palette pastel Lolita qu’on réhausse avec un blazer stabilo. rosaeparis.com

Look Couture. Avec cette robe oversize en faille de soie brodée de plumes de coq, Edouard Vermeulen crée pour Natan Couture une silhouette pleine de poésie pour que l’on puisse jouer aux jolies fées festives. 02 647 10 01 – natan.be

Pour son défilé New-yorkais, Ulla Johnson s’affranchit totalement des codes classiques en associant la robe bustier « Polline » en coton et nylon (1210€) à un débardeur kaki en résille. Un clin d’œil streetwear qui ne manquera pas de plaire aux modeuses urbaines. ullajohnson.com