Omega : Chronométreur olympique

Les dynamiques Seamaster Olympic Games mettent au poignet les cinq couleurs des anneaux olympiques. Le « plus » : un lecteur de pouls intégré au cadran aide à calculer la fréquence cardiaque. Testé et adopté par Jonathan, Kevin et Dylan Borlée pendant leur préparation aux épreuves d’athlétisme. Acier, 39,5 mm, calibre co-axial 8800 certifié Master Chronometer. 2 032 exemplaires par couleur, 5 400 euros. | © DR
L’horloger suisse est sur les starting-blocks pour chronométrer à Tokyo les rêves de gloire des meilleurs athlètes de la planète.
Leurs performances iront de pair avec celles d’Omega qui sera, une nouvelle fois, à l’avant-garde du chronométrage avec ses équipements et technologies de l’ultraprécision. Privés de spectateurs à cause de la crise sanitaire, les Jeux olympiques 2020 peuvent heureusement compter sur le chronométreur officiel historique pour faire vivre leurs 339 épreuves comme jamais auparavant. Devant votre téléviseur, mais au plus près des athlètes et de leurs efforts suivis en temps réel.
Omega s’est donné les moyens d’assurer la magie du direct : 400 tonnes de matériel de pointe, 200 km de câbles et fibres optiques, 350 tableaux d’affichage adaptés à toutes les disciplines sportives, 85 tableaux d’affichage publics, 530 chronométreurs et professionnels sur le site, 900 bénévoles formés. Endossant pour la 29e fois le rôle de chronométreur officiel, la marque suisse peut s’appuyer sur une longue expertise. Il est loin le temps des Jeux olympiques de Los Angeles de 1932 où un seul de ses horlogers officia, armé de 30 chronomètres précis au 1/10e de seconde !
D’olympiade en olympiade, Omega a réussi à développer une bonne partie des technologies sophistiquées du chronométrage sportif. Les plus marquantes ? 1948, JO de Londres : des cellules photoélectriques émettent des rayons de lumière pour remplacer le traditionnel ruban de la ligne d’arrivée. 1953, JO d’Helsinki : le Time Recorder, chronographe à quartz doté d’un système d’impression, imprime instantanément les résultats affichés au 1/100e de seconde. 1968, JO de Mexico : les plaques de touche positionnées aux extrémités des bassins permettent aux nageurs d’arrêter eux-mêmes leur chrono. Cette invention est toujours considérée comme l’un des événements majeurs de l’histoire du chronométrage.

Il y en eut bien d’autres : au fur et à mesure que les athlètes gagnaient en puissance et en vitesse, l’horloger suisse améliora sans cesse ses technologies de mesure. Par exemple ? Le Quantum Timer d’une précision inouïe d’un millionième de seconde, les starting-blocks avec capteurs intégrés et haut-parleurs qui évitent les faux départs (tous les athlètes entendent simultanément le signal du starter), le Scan’O’Vision Myria ou caméra photofinish capable d’enregistrer à chaque seconde 10 000 images numériques de qualité, les cellules photo- électriques nouvelle génération boostées de rayons infrarouges, etc.
À Tokyo, l’horloger suisse sera amené à se surpasser pour « timer » 33 disciplines sportives ayant chacune leurs contraintes spécifiques. L’événement promet d’être palpitant grâce aux nouveaux systèmes de positionnement et de détection des mouvements des athlètes. Jusqu’à la dernière fraction de seconde des épreuves, leurs performances, distances, accélérations seront mesurées, affichées et perçues en continu. Cela implique des caméras ultrasensibles et d’indiscrètes puces fixées sur les dossards des coureurs, bracelets des nageurs, cadres des vélos… La complexité de ce déploiement technologique vous semble un peu loin des montres ? Omega célèbre aussi ces JO « made in Japan » avec plusieurs pièces d’exception dont le cœur automatique est un athlète de l’horlogerie de précision.


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