Par Rédaction Paris Match Belgique
Noël est censé être un temps de joie et de retrouvailles, comme dirait le Roi dans son discours de fin d’année. Loin de la magie de Noël, certains films ont décidé de faire tout le contraire.
Un Noël comme vous ne l’avez jamais vu. Après avoir découvert la ville de Noël, le roi des citrouilles et guide de Halloween-ville, Jack Skellington, décide de s’emparer de cette fête joyeuse et de kidnapper le bonhomme rouge et blanc. Aussi merveilleux que morbide. Mais avec Tim Burton à la réalisation, on ne pouvait pas espérer plus étrange.
Le remake du film d’horreur culte sorti en décembre a rappelé – sans surprise – à quel point l’original était meilleur. Au programme : des étudiantes seules durant la période de Noël, des coups de téléphone anonymes – un classique du genre – et un tueur en série pour s’opposer radicalement à la magie d’un Noël, plutôt blanc ensanglanté.
Lorsque trois amis se retrouvent leur traditionnelle sortie annuelle du réveillon de Noël, et lorsque ces trois amis se trouvent être Seth Rogen, Joseph Gordon-Levitt et Anthony Mackie, cela ne peut que donner un film de Noël à tenir à l’écart des enfants.
Un classique de chez classique. Si vous n’avez jamais vu ce film élémentaire de la culture pop, c’est le moment idéal. Die Hard est considéré comme l’un des meilleurs films alternatifs de Noël.
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Film culte. Si on connait les répliques par coeur, c’est toujours un plaisir de revoir Gérard Jugnot et ses ordures. Allez, Joyeux Noël Félix !
Ce qu’il se passe après un trafic de drogues, d’après trois points de vue différents, la veille de Noël. L’histoire de Go, réalisé par Doug Liman en 1999, est idéale pour celles et ceux qui font une overdose de ces festivités.
On a toujours dit que c’était une mauvaise idée d’offrir un animal pour Noël. Surtout lorsqu’il s’agit d’un Mogwai. Sur ces étranges mais adorables bestioles, il y a trois choses à savoir : il ne faut pas l’exposer à la lumière, lui éviter tout contact avec l’eau et surtout ne jamais le nourrir après minuit. Trois règles que Billy, le maître de Gizmo, ne va pas respecter.
Parce que Noël ne serait pas Noël sans Kevin McCallister et ses astuces pour survivre seul et faire fuir les voyous, Maman, j’ai raté l’avion se doit d’être dans toutes les listes de films de Noël. Sortis en 1990 et 1992, les deux volets se regardent, l’un après l’autre bien sûr, en famille parce que, enfant, on a tous rêver que nos parents nous laissent seuls dans la maison pour pouvoir être aussi ingénieux que Macaulay Culkin.