Paris Match Belgique
C’est quand Le Bon Marché est venu nous voir dans l’optique de faire une installation permanente de six semaines qu’on a trouvé l’idée fédératrice et artistique qui justifiait cette exposition : une usine fantastique. Le concept-même a nourri les pièces : la faïence, les fauteuils… Ça nous a décomplexé. – Luc Junior Tam, directeur artistique Mosaert
Au tout début, quand j’ai commencé à dessiner cette collection, je voulais voulu rendre hommage à ma grand-mère, qui gardait tout. C’est elle qui m’a donné le goût de la seconde main. Plus je rassemblais les inspirations, plus j’y retrouvais l’art déco et l’art nouveau. Mais au départ, c’est plus dans l’univers de certaines personnes âgées que venait puiser mon inspiration. C’est pour ça qu’on retrouve ces petits moutons, inspirés de figurines en porcelaine. – Coralie Barbier, styliste Mosaert
J’avais vraiment envie de travailler sur la brillance et des motifs aux contours délimités. Et en fait, c’est la même inspiration que l’art déco et l’art nouveau. C’est venu comme ça. Finalement, c’est marrant : c’est notre premier défilé et on le fait à Paris, mais on reste Belges. – Coralie Barbier, styliste Mosaert
Le Bon Marché n’est pas venu vers nous pour la mode, mais pour le label Mosaert. Ils voulaient qu’on le présente de la meilleure manière qui soit : Paul a par exemple composé une B.O. pour le défilé, on a travaillé sur une scénographie, des installations, de la vidéo… C’est un peu tout ce qu’on a fait sur le projet Stromae et tout ce qu’on fait aujourd’hui avec Mosaert pour d’autres. – Coralie Barbier, styliste Mosaert
